Cette segoula est LA SEGOULA la plus puissante pour s'enrichir!
Il suffit de donner à la tsedaka le « ‘homèch » c’est-à-dire 20% de ses revenus (1/5 de ses bénéfices!)
Il est écrit que celui qui donne 1/10 (10%) de ses bénéfices ne sera pas pauvre, mais celui qui donne 1/5 sera riche.
il est interdit de donner plus de 20% à la tsedaka.
Il est également mentionné que l'on peut éprouver D. a ce sujet.
Il est écrit dans la Guemara Taanit page 9a
« A dit Rabbi Yo’hanan : Quel est le sens du verset (Devarim, 14) : « Assér taassér » (pourquoi il y a-t-il une répétition du mot « assér ») ?
Pour nous enseigner ceci: donne le maasser « chétithachér », « afin que tu deviennes riche ».
Le ‘Hida, dans son livre Brit olam sur Sefer ‘hassidim, chap. 395, pose la question suivante:
On a vu des personnes qui étaient riches, qui ont fait beaucoup de tsédaka et de ‘hessed, qui néanmoins ont fait faillite, et leur descendance est dans la misère, et personne ne comprend cela, étant donné que D. a promis la richesse à tout ceux qui feraient la tsédaka?
Il répond que si l’argent n’était pas de l’argent propre, par exemple résultat de vol ou de vente mensongère, la promesse de D. peut ne pas se réaliser.
D’autres grands d’Israël ont cité d’autres raisons qui peuvent empêcher la réalisation de cette promesse :
1) La personne qui donne la tsédaka transgresse des péchés qui sont sanctionnés par la pauvreté. Par le mérite de la tsédaka qu’il donne il ne devient pas pauvre, mais néanmoins il paye les péchés qu’il a commis par le fait qu’il ne peut pas devenir riche (Ahavat ‘hessed du ‘Hafets ‘Haïm, tome 2, chap. 19, dans lahagaha).
Rav ‘Haïm Kaniewsky dit aussi que s’il a des dettes envers D. qui se paieront par des souffrances après la mort, mais que d’un autre côté il devait devenir riche, D. lui fait souvent payer dans ce monde les souffrances qu’il aurait du avoir après la mort, par le fait qu’il ne deviendra pas riche. Pas forcément pauvre, mais forcément pas riche.
2) Il aurait dû mourir, mais D., dans Sa miséricorde infinie, remplace la mort par la pauvreté, comme il est écrit qu’un pauvre est considéré comme un mort (le ‘Hafets ‘Haïm sur la Torah, page 59).
3) Il a donné la tsédaka, mais pas suffisamment par rapport à sa richesse (Ahavat ‘Hessed, tome 2, chap. 7, sur les bases de la Guemara dans Ktoubot page 66b).
4) Il donne le maasser du bénéfice, mais au début il n’a pas donné le maasser du capital (response Afkat rokhel de Rabbi Yossef Karo, chap. 3).
5) Vu que c’est une personne pure, que D. aime, Il préfère le payer dans le olam haba, dans une monnaie éternelle, plutôt que dans le olam hazé avec de l’argent (Rabénou Yona dans Chaarei techouva, portail 3, chap. 30).
6) Il a fait des affaires avec l’argent qu’il devait donner à la tsédaka, et lorsque des pauvres sont venus lui demander de l’argent, il n’a pas pu le retirer car il était investi (Sefer ‘hassidim, chap. 1030).
7) Il donne la tsédaka pour se parer d’honneurs (sur les bases de la GuemaraKtoubot, page 67a, le Réma dans Choul’han aroukh, yoré déa, chap. 249, alinéa 13).
8) Il a suffisamment d’argent, mais D. ne veut pas lui donner plus d’argent, car les personnes à qui il donnerait l’argent de tsédaka ne le méritent pas ( Rav Moché Solovetchik, dans le livre Ha-ich moché, tome 1, page 206).
Source: Rav Ron Chaya